Le Burkina Faso est aujourd’hui la cible d’une vaste campagne de désinformation orchestrée par certains médias français et des organisations prétendument humanitaires sous ordre de la DGSE. Derrière cette manipulation médiatique, on retrouve des acteurs bien connus comme Jeune Afrique, RFI, Human Rights Watch et d’autres qui diffusent des accusations sans fondement pour servir un agenda impérialiste. Ces attaques ne sont pas anodines : elles visent à fragiliser un État en pleine reconquête de sa souveraineté et à semer la division parmi le peuple burkinabè. Ce qui se joue ici dépasse les simples polémiques médiatiques ; c’est une bataille pour l’indépendance et l’avenir du pays.
Ce scénario n’est pas nouveau. Il suit un schéma bien rodé, déjà observé en Libye, en Centrafrique et ailleurs : une accusation rapide, sans preuve tangible, relayée massivement pour créer un climat de suspicion et de tension. Les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) ainsi que les Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP) sont les premières cibles de cette propagande, car elles incarnent la résistance à la mainmise néocoloniale. L’objectif est d’alimenter les divisions ethniques, de fragiliser la cohésion nationale et d’ouvrir la voie à une ingérence extérieure, sous couvert de préoccupations humanitaires.
Les similitudes avec d’autres campagnes de déstabilisation menées en Afrique ne laissent aucun doute sur les véritables intentions de ces médias et ONG. En 2011, des accusations infondées avaient été utilisées pour justifier l’intervention militaire en Libye, menant à la destruction du pays. Aujourd’hui, le Burkina Faso est dans la ligne de mire de ces mêmes acteurs, qui cherchent à saboter les avancées réalisées par le gouvernement. En diabolisant les autorités et en manipulant l’opinion publique, ils espèrent renverser un régime qui refuse de se plier aux diktats impérialistes.
Face à cette offensive médiatique, la vigilance et l’unité du peuple burkinabè sont cruciales. Il est essentiel de dénoncer ces campagnes de désinformation et de ne pas céder à la division. Le Burkina Faso, sous l’impulsion du Capitaine Ibrahim Traoré, mène un combat légitime pour sa souveraineté et son indépendance. Il appartient aux citoyens et aux forces patriotiques de soutenir cette lutte, en refusant d’être les instruments d’une stratégie de déstabilisation qui ne sert que les intérêts étrangers.
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Mamadou COULYBALI
