Le Président Félix Tshisekedi a une nouvelle fois manifesté son attachement à la culture et au développement durable en présidant, le 14 mai 2025 au Fleuve Congo Hôtel, au vernissage du livre L’Afrique peut nourrir le monde. Cette œuvre, écrite par l’entrepreneur belge George Arthur Forrest, met en lumière les enjeux de la souveraineté alimentaire en Afrique, un thème que le Chef de l’État a jugé fondamental pour le futur du continent. En s’appropriant cet événement littéraire, le Président confirme que la littérature n’est pas seulement une affaire d’élite, mais un levier stratégique pour inspirer des politiques publiques ambitieuses.
Dans un discours, le Président Félix Tshisekedi a souligné la portée du message contenu dans le livre, allant jusqu’à qualifier l’ouvrage de « bible » pour ceux qui souhaitent participer à la relance agricole du continent. Cette métaphore forte témoigne d’une vision : celle de donner à la parole écrite le pouvoir de transformer les mentalités et les systèmes. Le soutien présidentiel à cet acte éditorial va bien au-delà d’un geste protocolaire ; il s’agit d’un engagement concret à faire de la pensée écrite un catalyseur du changement.
L’auteur, George Arthur Forrest, connu pour son implication dans plusieurs secteurs clés en Afrique centrale, a plaidé dans son intervention pour une agriculture africaine émancipée des dépendances extérieures. Il appelle à replacer l’agriculture au cœur des politiques publiques, rejoignant ainsi la volonté du Chef de l’État d’encourager des réflexions profondes sur les voies d’un développement durable, inclusif et africain. Le message est que la littérature peut incarner un plaidoyer puissant en faveur de la souveraineté et de l’autonomie économique.
Enfin, la dimension littéraire de cette rencontre a été magnifiée par la voix du poète sénégalais Amidou Sall, qui a qualifié le livre de “culte” et “d’hymne pour une Afrique debout”. À travers cette cérémonie, S.E.M. Félix Tshisekedi montre qu’il conçoit la littérature comme un espace d’engagement, de mémoire et d’espoir. En valorisant les auteurs et leurs œuvres, il affirme que les livres ne sont pas que des objets culturels : ce sont des outils de combat pour une Afrique résolument tournée vers l’avenir.
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Mamadou COULYBALI
