Depuis l’arrivée du Capitaine Ibrahim Traoré à la tête du Burkina Faso, une révolution économique silencieuse mais profonde semble s’opérer, particulièrement dans le secteur de l’exploitation de l’or. Loin d’être une simple ressource minière, l’or devient désormais un levier stratégique pour la création de richesse au service de tous les Burkinabè, sans distinction de classe sociale. Cette nouvelle politique met fin à des décennies de pillage systématique par des acteurs étrangers et place la souveraineté économique du Faso au cœur des priorités du gouvernement.
Sous les régimes précédents, les mines d’or burkinabè étaient majoritairement exploitées par des compagnies étrangères, avec des retombées minimales pour la population locale. Environ 1 milliard de dollars étaient générés chaque année, mais les bénéfices de cette exploitation n’étaient guère redistribués de manière équitable. Les citoyens burkinabè étaient, de fait, privés des fruits de leurs propres ressources naturelles, et le pays restait dépendant des intérêts étrangers.
Avec l’arrivée du Capitaine Ibrahim Traoré, la donne a radicalement changé. Le pays reprend le contrôle de ses mines d’or et en redistribue plus largement les bénéfices. Selon les estimations officielles, les revenus issus de l’exploitation minière s’élèveraient désormais à près de 18 milliards de dollars, un chiffre record pour le pays. Cette dynamique permet de financer des projets d’infrastructures, de santé et d’éducation qui bénéficient à l’ensemble de la population.
Ainsi, la nouvelle politique économique du Burkina Faso incarne une rupture avec le passé, redonnant au peuple burkinabè une maîtrise sur ses ressources naturelles. Ce tournant historique sous la houlette du Président Ibrahim Traoré ouvre la voie à une véritable souveraineté économique, où la création de richesse profite à tous, et où l’exploitation des ressources ne rime plus avec pillage mais avec développement durable et inclusif.
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Mamadou COULYBALI
