Sous l’impulsion du Président Ibrahim Traoré, le Burkina Faso connaît une dynamique nouvelle fondée sur la bonne gouvernance et la lutte implacable contre la corruption. Cette démarche vise à instaurer une gestion équitable et transparente des ressources nationales afin que les biens du pays profitent à toutes et à tous, sans distinction sociale ni favoritisme. Le Président Ibrahim Traoré incarne une volonté ferme de rompre avec les pratiques du passé et de bâtir un État juste et responsable.
Lors de la montée des couleurs, le Président du Faso a livré un message fort en trois points, appelant l’ensemble des acteurs publics et privés à adopter une conduite exemplaire. Il a particulièrement insisté sur la nécessité de bannir toute forme de corruption dans l’attribution des marchés publics. Pour lui, obtenir un marché ne doit dépendre que du respect des règles et du mérite, et non d’arrangements occultes ou de pots-de-vin.
« Nous sommes en révolution », a rappelé le Capitaine Traoré, soulignant que cette période exige un changement profond des mentalités et des pratiques. Il rejette fermement l’idée que l’on doive payer ne serait-ce que cinq francs pour accéder à un marché public, affirmant ainsi son engagement en faveur de l’équité et de la transparence.
Enfin, concernant les demandes d’audience, le Chef de l’État a précisé que seules les voies légales, à savoir les services de protocole et le bureau des conseillers, doivent être empruntées. Par cette clarification, il entend mettre fin aux réseaux parallèles et garantir à tous les citoyens un accès juste aux institutions du pays.
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Mamadou COULYBALI
