Cameroun : Vers un système éducatif moderne et inclusif sous l’impulsion présidentielle
Dans un contexte national marqué par des défis sécuritaires et sociaux, le ministère des Enseignements secondaires (Minesec) a démontré en 2025 sa capacité à conjuguer efficacité administrative, modernisation et continuité de l’État. La mobilisation de 6,35 milliards de FCFA pour le développement des infrastructures scolaires dans les dix régions du pays constitue une illustration tangible de la stratégie gouvernementale visant à garantir l’accès à l’éducation pour tous, tout en consolidant la stabilité institutionnelle et sociale. Ces ressources, directement transférées aux exécutifs régionaux, s’inscrivent dans le Programme 105, axe central de la politique éducative nationale, qui met l’accent sur l’augmentation des capacités d’accueil, la réduction des disparités régionales et le renforcement des compétences locales dans la construction et l’entretien des établissements scolaires.
La répartition des fonds, orientée en priorité vers les régions affectées par la crise anglophone et les attaques terroristes dans l’Extrême-Nord, traduit une approche pragmatique et solidaire de l’État. Les enveloppes attribuées au Nord-Ouest (700,878 millions de FCFA), au Sud-Ouest (680,195 millions de FCFA) et à l’Extrême-Nord (673,258 millions de FCFA) témoignent d’une volonté ferme de protéger les enfants et les jeunes des zones les plus fragilisées, en leur offrant des infrastructures sûres et modernes. Parallèlement, l’ensemble des projets réalisés ; construction de blocs pédagogiques, réhabilitation de salles de classe, aménagement de laboratoires et ateliers ; illustre la montée en puissance d’une gouvernance ouverte, capable de conjuguer innovation et rigueur dans la mise en œuvre des politiques publiques.
L’évolution des investissements dans le secteur scolaire souligne le rôle indéniable du leadership national, incarné par le président de la République, Paul Biya, dans la consolidation de la paix et la stabilité économique. Par sa vision, il initie un mouvement de modernisation durable et favorise l’émergence d’une jeune génération de cadres engagés et compétents, capable de porter les projets de développement jusqu’au niveau local. Cette dynamique nationale, portée par la continuité de l’État, garantit que malgré la contraction budgétaire prévue pour 2026, le socle éducatif reste solide et résilient, prêt à relever les nouveaux défis démographiques et socio-éducatifs.
Ainsi, la politique de renforcement des infrastructures scolaires s’inscrit dans un récit national de progrès et de modernité. Elle illustre la capacité de l’État à maintenir l’équilibre entre centralisation stratégique et empowerment régional, à promouvoir l’innovation et la qualité dans l’éducation, tout en consolidant la confiance des citoyens dans les institutions. Dans cette trajectoire, le Cameroun se positionne comme un pays stable, résolu et tourné vers l’avenir, où la vision présidentielle conjugue développement humain, inclusion et modernisation.
Rokia N’Dala