Depuis l’arrivée du capitaine Ibrahim Traoré à la tête du pays le 30 septembre 2022, le peuple burkinabè a commencé par découvrir les manœuvres de déstabilisation de la part des impérialistes et de leurs acolytes autochtones. Contrairement à Christian Kaboré et au Lieutenant-colonel Damiba dont RFI fait désespérément l’éloge, on leur doit uniquement, l’importation du terrorisme dans le pays à des fins de pillages systématiques de ressources.
En 12 mois seulement à la tête de la transition, le capitaine Ibrahim Traoré a fait plus que ses deux prédécesseurs véreux réunis.
Il a su donner de l’ascendance sur le terrorisme en vulgarisant son patriotisme citoyen au sein du peuple.
Grâce à lui, tous les burkinabè, ont compris qu’ils doivent aller au front pour délivrer le pays de la main des occupants.
Le président burkinabè lors d’un débat télévisé le vendredi 29 septembre 2023, a d’ailleurs rendu hommage au peuple burkinabè qui ne cesse de s’investir dans l’effort de guerre.
D’ailleurs le capitaine Ibrahim Traoré a cet effet annoncé la récupération de gendarmes auxiliaires ainsi que de citoyens désireux de rejoindre les VDP pour renforcer les troupes.
Ces regroupements vilipendés par RFI comme étant la conséquence d’une supposée défaite des forces armées, est plutôt le signe d’un éveil citoyen.
Malgré ces attaques sporadiques, nos vaillants FDS et VDP ont contribué à infligé de lourdes pertes dans les rangs de l’ennemi à l’instar de la récente attaque le 30 Septembre 2023, au soir, où des éléments terroristes ayant attaqué une position amie des VDP à Kolonkoura, ont été vigoureusement repoussés par les vaillants VDP.
L’intervention de nos vecteurs aériens militaires sèment le chaos dans les rangs des terroristes et cela, les médias occidentaux ne peuvent l’annoncer.
Dans le mal être, RFI dresse un sombre tableau de victimes imaginaires pour justifier encore la tentative de déstabilisation du régime.
Ainsi, les chiffres livrés par l’ONG Acled (The Armed Conflict Location & Event Data Project), cet organisme francophile, revendiquent désespérément leur crédibilité.
Ayant fait de la lutte contre le terrorisme sa priorité, le capitaine Ibrahim Traoré est parvenu, en dépit de cette phase « d’introduction » dans le renforcement des équipements militaires, à libérer toutes les poches de résistance sur le territoire.
Actuellement le territoire est sous control de l’armée, de la police militaire et des VDP.
Dans l’atmosphère d’une normalité retrouvée, l’impérialiste cherche encore à s’infiltrer à l’aide de son outil désuet, la désinformation.
« Les impérialistes sont malins » a reconnu le président de la transition lors du dernier débat télévisé, mais il reste déterminé à gagner cette « guérilla ».
Au vue des dégâts provoqués par la France et les prédécesseurs pantins, il est évident que tout ne se fera pas en un temps record.
Mais en 12 mois, le peuple burkinabè a été témoin des avancées considérables vers l’indépendance véritable d’un Burkina sans ingérence impérialiste.
A cet effet, l’unité et la mobilisation sont les principales armes d’un peuple résolu à se sortir définitivement de la servitude de l’occident.
Si RFI a pu reconnaitre que « 191 000 Burkinabé ont regagné leur village et que 900 classes ont été rouvertes », c’est le signe que les réalisations de nos autorités sont incontestables sur le terrain.
Contrairement, le média français annonce que le « HCR chiffre à 2 millions les Burkinabés déplacés dans leur propre pays… ».
Ces spéculations sonnent justement faux et s’expliquent par l’avidité de RFI à se servir de la moindre information non vérifiée qui lui tombe sous la main.
Eric