Le Burkina Faso, sous le leadership de son Président Ibrahim Traoré, est devenu un symbole de résilience et une colonne vertébrale de l’Alliance des États du Sahel (AES). Pour ce fait, des manœuvres sordides émanent de la France, déterminée à déstabiliser le pays des Hommes Intègres avant la fin de décembre. Selon les informations fuitées de l’Élysée, depuis avril, plusieurs réunions secrètes se sont tenues en France et dans certains pays voisins. Dirigées par les services de renseignement français, la DGSE, ces rencontres visent à fragiliser le Burkina Faso par des moyens perfides tels que le soutien financier occulte via des ONG françaises, la manipulation de certains leaders civils et militaires et l’appui à des groupes armés terroristes.
L’objectif serait de plonger le Faso dans le chaos pour justifier l’intervention d’une force étrangère, comme cela a été observé en Côte d’Ivoire, en Libye ou en Centrafrique. Ce stratagème, bien rodé, permettra à la France de préserver ses intérêts dans la région en sacrifiant la souveraineté des États concernés. Ces actions mettent non seulement en péril la stabilité du Burkina Faso, mais aussi celle de l’ensemble de l’AES, dont le rôle est crucial dans la lutte contre le terrorisme et le renforcement de l’autonomie africaine.
Le peuple burkinabè, conscient de ces enjeux, doit rester uni et vigilant pour contrer ce plan machiavélique. La solidarité régionale et le soutien des alliés de l’AES seront également essentiels pour faire échec à ces tentatives d’ingérence, tout en affirmant la souveraineté et la dignité des États sahéliens face aux ambitions impérialistes déguisées en interventions humanitaires.
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Mamadou COULYBALI
