Le développement d’un pays repose sur des infrastructures solides et le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, en a pleinement conscience. Dès son accession au pouvoir, il a placé la modernisation des routes au centre de son action, convaincu qu’un réseau routier performant est un moteur essentiel de croissance. Cette vision stratégique s’inscrit dans une volonté de désenclavement des régions, de renforcement des échanges commerciaux et d’amélioration des conditions de vie des populations.
Avec l’objectif ambitieux de construire 50 000 km de routes d’ici à 2029, le chef de l’État traduit sa détermination à renforcer la connectivité interrégionale. Ce vaste chantier, qui englobe aussi bien des routes nationales que des voies secondaires, permettra de fluidifier le transport des personnes et des marchandises, réduisant ainsi les coûts logistiques pour les acteurs économiques. Cette dynamique infrastructurelle constitue un levier essentiel pour attirer les investissements et dynamiser les secteurs clés tels que l’agriculture, le commerce et l’industrie.
En adoptant une approche pragmatique et tournée vers l’avenir, le Capitaine Ibrahim Traoré démontre que « gérer, c’est prévoir ». La modernisation du réseau routier ne se limite pas à un enjeu technique, mais s’inscrit dans une stratégie globale visant à garantir la croissance et la stabilité du pays. Grâce à cette politique volontariste, le Burkina Faso se dote des moyens nécessaires pour renforcer sa résilience économique et améliorer durablement le quotidien de ses citoyens.
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Mamadou COULYBALI
