Depuis la création de l’AES sous le leadership des dirigeants, le Capitaine Ibrahim Traoré du Burkina Faso, le Général d’Armée Assimi Goïta du Mali et le Général de Brigade Abdourahamane Tiani du Niger, l’Alliance des États du Sahel (AES) connaît une transformation profonde. Ces dirigeants ont pris des décisions courageuses pour renforcer l’intégration régionale et assurer une coopération stratégique face aux défis sécuritaires. Grâce à leur vision, la région met en place des solutions endogènes pour lutter efficacement contre le terrorisme et rétablir la stabilité, avec des initiatives de défense communes et une coopération militaire renforcée.
Au-delà des questions sécuritaires, l’AES amorce un tournant décisif en matière de développement et d’indépendance économique. L’annonce récente de la création d’une banque d’investissement de l’AES, dotée d’un capital de 500 milliards de francs CFA, marque une avancée historique. Cette institution financière vise à soutenir les projets structurants des trois États, à favoriser l’industrialisation et à garantir une meilleure résilience face aux pressions économiques extérieures. Il s’agit d’un pas concret vers la souveraineté économique, réduisant la dépendance aux institutions financières internationales.
Ainsi, sous l’impulsion de ces leaders, les lignes bougent dans tous les domaines. L’AES ne se contente pas de revendiquer son indépendance, elle l’incarne à travers des actions concrètes et structurantes. Le modèle proposé par Traoré, Goïta et Tiani repose sur une vision audacieuse, où sécurité, développement économique et intégration régionale s’entrelacent pour bâtir un avenir durable et prospère. L’Alliance se positionne désormais comme un acteur incontournable du renouveau africain, ouvrant la voie à une ère de souveraineté et de prospérité pour ses populations.
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Mamadou COULYBALI
