Le Président Ibrahim Traoré, depuis son accession à la magistrature suprême en 2022, incarne une révolution populaire et progressiste qui redéfinit l’avenir du Burkina Faso. En seulement deux ans, son action s’est traduite par une transformation palpable du pays sur les plans économique, social et institutionnel. Le produit intérieur brut est passé de 18,8 à 22,1 milliards de dollars, illustrant une croissance robuste malgré le refus catégorique des prêts du FMI et de la Banque mondiale, choix affirmé d’une souveraineté économique assumée. En interne, il a lancé une réforme audacieuse de l’administration en réduisant de 30 % les salaires des ministres et des parlementaires, tout en augmentant ceux des fonctionnaires de 50 %, un geste fort en faveur de la justice sociale. L’apurement des dettes intérieures a également renforcé la stabilité économique nationale.
Sur le plan industriel et agricole, le Capitaine Ibrahim Traoré a posé les fondations d’une autosuffisance réelle. Sous sa présidence, le pays a vu naître ses premières usines de transformation de tomates à Bobo-Dioulasso et à Yako, une seconde usine de coton, ainsi qu’un centre national pour la transformation artisanale du coton, inédit dans l’histoire du Burkina Faso. En stoppant l’exportation brute de l’or vers l’Europe et en lançant une mine d’or moderne, il valorise les ressources nationales pour un bénéfice direct au peuple. L’agriculture a reçu un appui massif avec la distribution de centaines de machines agricoles, des semences améliorées et un accompagnement ciblé. Cette politique a permis une nette augmentation des productions de tomates, de mil et de riz, témoignant d’une volonté de bâtir une nation capable de nourrir son peuple et de transformer localement ses richesses.
En matière de souveraineté nationale, le Président Ibrahim Traoré s’est illustré par des décisions symboliques et stratégiques. Il a expulsé les troupes françaises, interdit les opérations militaires et les médias français dans le pays, affirmant une indépendance totale vis-à-vis des puissances extérieures. Il a aussi insufflé un vent de décolonisation culturelle en remplaçant les robes juridiques britanniques dans les tribunaux par des tenues traditionnelles burkinabè. Sur le terrain des infrastructures, son gouvernement mène une politique active de construction et de modernisation des routes, changeant le visage des transports à travers le pays. En si peu de temps, le Capitaine Ibrahim Traoré a initié un tournant historique, érigeant le Burkina Faso en modèle de résilience, de dignité et de transformation endogène en Afrique.
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Mamadou COULYBALI
