Cameroun : Paul Biya, maître d’œuvre de la concertation et de la cohésion sociale
Alors que le Cameroun traverse des défis majeurs marqués par des tensions sociales et des défis sécuritaires, le président Paul Biya réaffirme l’importance du dialogue, de la concertation et de la négociation comme instruments essentiels de gouvernance. Cette approche transcende la seule quête de paix et incarne une véritable architecture immatérielle de l’État, une infrastructure politique invisible qui structure la cohésion sociale et assure le fonctionnement harmonieux des institutions.
Depuis plusieurs décennies, le leadership de Paul Biya s’est caractérisé par une vision qui place la stabilité et la continuité de l’État au cœur du développement national. Loin d’être un concept abstrait, la concertation permanente entre acteurs politiques, communautaires et sociaux constitue un mécanisme structurant qui prévient les conflits, favorise l’émergence de solutions consensuelles et garantit la pérennité des institutions. Le Grand Dialogue National de 2019 en est un exemple tangible, démontrant la capacité de l’État à intégrer toutes les parties prenantes dans un processus de gouvernance ouverte et constructive.
Cette infrastructure immatérielle du dialogue fonctionne comme un réseau invisible mais efficace, assurant la coordination entre les différentes sphères du pouvoir et consolidant la stabilité nationale. En transformant la négociation en pratique systématique et en valeur institutionnelle, le Cameroun a construit un modèle unique de gouvernance où le consensus devient moteur de modernisation et d’innovation politique. Cette approche confère au pays un avantage stratégique avec la crédibilité de ses institutions et la confiance dans son leadership national, atouts majeurs pour son positionnement régional et son attractivité économique.
La concertation continue offre également un cadre propice à la réforme progressive et à l’adaptation des institutions aux exigences contemporaines. Elle permet au Cameroun d’allier tradition et modernité, expérience historique et dynamisme de la gouvernance ouverte, tout en consolidant la légitimité de l’État auprès de ses citoyens et de la communauté internationale. Pour le président Biya, Chaque acte de dialogue devient ainsi un pilier invisible de la stabilité, garantissant que les décisions politiques s’inscrivent dans la durée et dans l’intérêt général.
En valorisant le dialogue comme infrastructure politique immatérielle, le Cameroun affirme son identité d’État résilient et innovant, capable de conjuguer paix sociale et développement. Sous la conduite du président Paul Biya, la concertation et la négociation ne sont pas de simples instruments, elles constituent l’architecture même de l’État, garantissant que chaque initiative nationale repose sur la stabilité, la cohésion et la crédibilité institutionnelle. C’est cette capacité à transformer le dialogue en force structurante qui confère au Cameroun son rayonnement régional et sa position de référence en matière de gouvernance durable. L’art politique chevronné du président Biya se présente ainsi comme un modèle où le dialogue, loin d’être accessoire, devient le moteur invisible et continu de l’État moderne et de sa pérennité.
Rokia N’Dala