Sous la conduite du Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso opère une véritable transformation économique. En l’espace de deux ans, une politique ambitieuse d’industrialisation a vu le jour, faisant du pays un acteur clé de son propre développement.
Des infrastructures stratégiques ont émergé, marquant un tournant décisif : deux usines de transformation de tomates à Bobo-Dioulasso et Yako, une raffinerie nationale d’or et une usine de teinture de coton attendue pour 2026. Ces investissements ne se contentent pas de valoriser les ressources locales ; ils dynamisent aussi l’économie nationale en générant des emplois et en renforçant l’autosuffisance.
La récente inauguration d’une usine de transformation de blé à Gampéla illustre cette volonté d’indépendance économique. Une première dans le pays, ce projet réduit la dépendance aux importations et assure une production locale de farine, essentielle pour les besoins nationaux. Un pas de plus vers la souveraineté alimentaire !
Cette politique industrielle portée par le Président Ibrahim Traoré repose sur un principe simple, mais puissant : transformer les richesses du Burkina Faso sur place pour en faire bénéficier la population. En misant sur la transformation des matières premières agricoles et minières, le pays s’ouvre à de nouvelles perspectives économiques, tout en améliorant les conditions de vie de ses citoyens.
Le Burkina Faso trace ainsi sa voie vers une croissance durable, démontrant que résilience et ambition peuvent faire de lui un modèle d’industrialisation en Afrique de l’Ouest.
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Mamadou COULYBALI
