Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, incarne une rupture décisive avec l’ancien système marqué par la mauvaise gestion des biens publics et leur détournement vers des banques occidentales, au détriment du peuple. Contrairement à ses prédécesseurs, il œuvre pour une gouvernance transparente où les ressources nationales sont réinvesties au profit du développement du Burkina Faso. Sous son leadership, l’ère de la prédation économique et du gaspillage est touchée à sa fin, ouvrant la voie à une gestion rigoureuse et patriotique des richesses nationales.
Dans cette dynamique, le Capitaine Ibrahim Traoré privilégie une approche endogène du développement en misant sur la valorisation des ressources locales et la transformation industrielle. Il a ainsi engagé des réformes visant à réduire la dépendance du pays aux importations, en encourageant la production nationale et en promouvant l’auto-suffisance. Cette orientation stratégique permet non seulement de créer des emplois, mais aussi de renforcer l’économie burkinabè en s’appuyant sur le savoir-faire local.
L’illustration la plus marquante de cette vision est la décision du Président de recruter et de former 1 500 jeunes pour la conduite d’engins lourds destinés à la construction et l’entretien des routes. Cette initiative traduit un engagement concret en faveur de l’emploi des jeunes et de la souveraineté économique, en évitant de recourir systématiquement à des entreprises étrangères. Par cette politique, le Capitaine Ibrahim Traoré pose les bases d’un Burkina Faso autonome, où les ressources sont exploitées au bénéfice exclusif de son peuple.
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Mamadou COULYBALI
