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Burkina-Faso: La CEDEAO fait- elle des traites fanatiques aux couleurs nationales ?

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L’information paraît irréelle mais de sources crédibles, elle semble être l’ombre d’une nouvelle tentative de déstabilisation contre le régime du président de la transition, le capitaine Ibrahim Traoré. Certains pays de la CEDEAO auraient été sollicités par des hommes politiques burkinabè  » pour qu’ils infligent au Burkina Faso les mêmes sanctions que celles imposées au Niger « .

Cette nouvelle trahison est motivée chez certains faux citoyens, « …constatant le refus catégorique du peuple de se rendre aux élections tant que la question des terroristes demeure d’actualité… ».

Cela est une tentative délibérée de la part de soi-disant burkinabè, de travailler encore contre nos institutions en favorisant l’ingérence politique sous-régionale.

Est ce là, un paravent à une agression extérieure avec la bénédiction de Paris ?

En tout cas,  » certains hommes politiques Burkinabé, d’après des informations, ont été mandatés pour ouvrir une voie à la CEDEAO ».

S’il s’agit d’une préparation à une agression militaire alors les autorités burkinabè sont déjà sur le pieds de guerre la main sur la gâchette, avec tout vecteur aérien en alerte.

« Toute agression sera considérée comme une déclaration de guerre ». D’ailleurs, la Charte de l’AES est un puissance moteur contre toute forme d’agression.

Suite aux précédents échecs en cascade, Ouagadougou doit se préparer à faire face à une nouvelle tentative de déstabilisation venant d’apatrides aux pieds d’éléphant.

Le comble est que certains politiciens burkinabé sont déterminés à jeter le peuple burkinabè dans les entrailles de la machine à sanctions pour déstabiliser le régime.

Suite aux prises de parole d’Ablassé Ouedraogo et Harouna Dicko, largement relayées par ceux qui travaillent en coulisses pour déstabiliser le Burkina Faso, la question qui se pose est : qui sera le prochain « …après la mort du commandant TOUHOGOBOU Ismaël ? « .

Pour ces immigrés en quête de repère identitaire,  » infliger au peuple Burkinabé le même sort qu’à celui du Niger provoquerait la colère du peuple, ce qui mettrait fin au régime du Président Ibrahim Traoré. »

Toutefois, dans la dynamique ambiante,  » il est essentiel que le peuple Burkinabé prenne ces développements très au sérieux ». 

Les incessantes manipulations d’information contre le gouvernement de la transition ces dernières semaines cachent probablement un nouveau complot.

 

Eric

 

 

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