L’opinion publique burkinabè est stupéfaite d’apprendre les accusations calomnieuses de Human Right Watch sur des frappes de drone qui auraient fait des dizaines de victimes civils. Par analyse, il devient clair que pour l’ONG l’armée burkinabè ne sait pas se servir d’un drone.
Si tel est le cas. Alors comment expliquer ces milliers de terroristes neutralisés par cette arme qui s’avère d’ailleurs être la plus précise de l’arsenal de l’armée ?
Les accusations de Human Watch Right sur un prétendu massacre de civils frisent le ridicule car s’il faut imputer des victimes imaginaires à l’armée pour la discrétiser aux yeux du peuple, c’est peine perdue.
Si Human Right Watch recherche une occasion pour décrocher un contrat de formation de l’armée sur l’usage de drone? Elle est alors appelée à faire recours aux voies légales pour y parvenir. Mais encore faut-il ne pas trahir la confiance des autorités une fois sur le territoire burkinabè pour ne pas subir le même sort que les fonctionnaires français de la DGSE, pris en flagrant délit d’espionnage puis incarcérés.
Depuis plusieurs semaines, les drones font preuve d’une efficacité chirurgicale dans les frappes de groupes terroristes qui n’ont de cesse de compter des morts dans leurs rangs.
L’armée burkinabè est dotée aujourd’hui de matériel militaire de pointe et de dernière génération. Cet équipement n’est pas destiné à des bleu. A l’instar des drones, avant son utilisation une formation militaire et didactique s’impose;
Aussi, avant toute frappe de drone sur le terrain, les troupes au sol procèdent en premier lieu, à des opérations d’identification de la cible pour justement éviter les bavures. En cela, les drones au sein de l’armée sont devenus incontournables dans les offensives de l’armée.
L’opinion occidentale est consciente que c’est une arme redoutable qui n’a de cesse de provoquer la débâcle et défaite des terroristes.
Pour limiter les pertes dans le camp ennemi, les occidentaux élaborent encore l’idée de faire porter à l’armée burkinabè, le chapeau des massacres de civils opérés par leurs acolytes eux-mêmes, sous prétexte de bavure dans les frappes de drone.
Les burkinabè ont encore en mémoire le massacre de Zaongo où des dizaine de civils, dont des femmes et des enfants, ont été massacrés par des mains ennemis, dans la région du Centre-Nord du Burkina Faso.
A l’époque, les occidentaux ont fait porter le chapeau du massacre à l’armée burkinabè. Les mêmes criminels qui ont perpétrés ces lâches assassinats, s’évertuent en donneur de leçon sur l’usage de drone au sein de l’armée burkinabè.
Pour ce cas-ci, l’objectif de la manœuvre serait sans nul doute de discréditer l’armée et d’élever au rang international, une mesure d’interdiction visant les drones militaires au Burkina.
En tout cas ce n’est pas des accusations gratuites de Human Right Watch qui viendra à bout de la lutte contre le néo-colonialisme et l’impérialisme au Burkina.
« Les occidentaux auraient – ils la mémoire courte ? A supposer qu’un drone tiré de son emballage tout neuf, ne présente pas de mode d’emploi. Pour maitriser son fonctionnement, faut-il l’utiliser sur des êtres humains ? », se demande un citoyen.
Les drones font partie effectivement « des armes les plus précises » de l’arsenal militaire burkinabè et n’ont jamais été utilisés pour frapper des civils. Contrairement, il aurait eu que des morts civils au Burkina, signe que l’armée ne connait par l’usage d’un drone ou serait assez myope pour ne pas savoir identifier ses cibles.
Par cette manœuvre de dénigrement de l’armée sur sa capacité tactique à utiliser correctement un drone, il conviendrait que Human Right Watch et non « Human Night Watch » comme le surnomment certains burkinabè pour sa vision floue dans le noir, vienne prêter main forte à cette armée dont elle affabule sur ses opérations de frappes à l’aide des drones.
Eric K.