Face à l’échec des actions de déstabilisation multipliées contre le pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré, les terroristes tentent à présent de détériorer les relations diplomatiques entre le Togo et le Burkina.
Une base terroriste au nord du Togo voisin, serait stratégique pour des malfaiteurs en quête d’expansion dans la sous-région pour asseoir leurs actions à l’instar des attaques contre le régime du capitaine Ibrahim Traoré, Chef de l’Etat du Burkina-Faso.
Mais face à la détermination sans faille des vaillants soldats togolais et la stratégie de sécurisation mise en place par le Président Faure Gnassingbé, les terroristes sont repoussés à l’intérieur du territoire burkinabè où ils sont pris en étau et décimés en masse par l’armée burkinabè.
En désespoir de cause, ils recrutent des journalistes et des activistes pour pondre et répandre des informations visant à discréditer le Président Faure Gnassingbé.
Cette campagne avant son échec, visait à semer la discorde et à déstabiliser le Burkina Faso en faisant appel à des mercenaires.
Après l’échec de la déstabilisation, les terroristes mettent en branle une manipulation pour diviser et imposer leur plan machiavélique.
Mais le plan d’influence de l’ennemi dans la région s’est heurté au bonne relation de coopération dont jouit le Togo auprès du Burkina Faso, Mali et du Niger dans la prise de position contre les sanctions « anormales » imposées par la CEDEAO.
En aucun cas, le Togo ne peut cautionner une quelconque » déstabilisation « contre le Burkina-Faso envers lequel il a toujours cultivé des rapports de coopération privilégiés.
D’ailleurs tous les pays de l’AES reconnaissent les actions positives du Président Faure Gnassingbé et maintiennent leur confiance envers le Togo en tant qu’allié essentiel dans la lutte contre le terrorisme.
A l’arrivée du capitaine Ibrahim Traoré
Le Togo avait accueilli le président déchu Damiba à l’arrivée au pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré le 30 septembre 2022.
A l’époque, les sanctions de la CEDEAO contre le pays pour « Coup d’Etat », ont été dénoncées par les autorités du Burkina qui depuis expérimentent des actions sournoises de déstabilisation.
De là, les rapports avec les pays voisins se sont quelque peu détériorés. Mais grâce à une politique de lutte très efficace contre le terrorisme par le Burkina et les incursions terroriste dans le nord du Togo, la méfiance a laissé place à une solidarité contre l’ ennemi.
D’où la détermination des terroristes d’écarter le Togo, rempart solide autour du Burkina et des autres pays de l’AES.
De son côté, le Togo, fidèle à ses principes, demeure résolu à protéger coûte que coûte la paix et la sécurité dans la région.
Eric K.